Numérique / Territoires

Le Très haut débit pour tous - Tous pour le Très haut débit

La 7ème édition du colloque "Territoires et Réseaux d’Initiative Publique" a connu un vif succès avec près de 500 personnes présentes et 176 collectivités locales représentées.

Elle s’est inscrite dans un cadre qui se stabilise, après des mois, voire des années d’élaboration :

  • réglementation de la zone moins dense et compléments pour la zone très dense sur la fibre ;
  • réglementation de la montée en débit sur cuivre ;
  • aides du Programme national Très haut débit pour les réseaux d’initiative publique.

Aux opérateurs, opérateurs d'opérateurs, collectivités de prouver que ce cadre est efficace, qu’il permet de construire les 2.000.000 de prises annuelles qui assurent une mutation en 15 ans, à la place des 300.000 de l’année 2010… ou d’en montrer les limites afin que ce cadre évolue, plus ou moins profondément.

Le colloque TRIP 2011 est organisé par l’AVICCA, avec l’appui du Département Développement Numérique des Territoires, de la Caisse des Dépôts.

VIDEO reprenant divers éléments évoqués lors de la première journée

Regards croisés sur le cadre réglementaire, les annonces France Télécom / SFR, le débat à venir.

 


Avicca - Colloque TRIP 2011 - Présentation N° 1

par AVICCA publié sur Vimeo.

Ouverture du colloque

Discours d'ouverture du colloque TRIP 2011

Yves ROME, Président de l'AVICCA

Bienvenue à tous pour cette septième édition du colloque « Territoires et réseaux d’initiative publique », je me réjouis de vous voir chaque année présents de plus en plus nombreux.

Avant de détailler le contenu même du colloque, je voulais vous annoncer le renouvellement des instances de l’Avicca. Notre association, depuis près d’un quart de siècle, ne cesse de croître et de s’adapter aux nouveaux défis des collectivités locales. Vous voyez d’ailleurs s’afficher derrière moi la carte des nouveaux membres de notre association, que je salue tout particulièrement.(...)

SDTAN, RIP, FTTH : bilan et perspectives.

Thierry JOUAN, Chargé de mission - AVICCA

Initiative privée, initiative publique, mutualisation et intentions d'investissements

Patrick VUITTON, Délégué général de l'AVICCA

Mise en œuvre du Programme national Très haut débit

Projets pilotes, règles et barèmes de subventions aux réseaux d’initiative publique, aides et labels pour les opérateurs privés, avis de la Commission européenne sur les aides d’Etat… Un an et demi après son lancement, où en sont les nombreux volets du Plan national Très haut débit (PNHDT) ?

Patrick CRÉZÉ, Directeur, adjoint du Délégué - DATAR

Benoît LOUTREL, Directeur du Programme économie numérique - CGI - pas de présentation

 

Améliorer ou réformer le cadre d’action des collectivités pour le THD ?

Intervention d’Yves ROME

 

« Vous le savez, je milite pour un changement profond du cadre, et je vais en développer quelques points :

  • la priorité à l’initiative publique
  • quelle maîtrise d’ouvrage publique ?
  • quel rôle pour l’Etat ?
  • quels moyens financiers ?
  • quelle place pour l’opérateur historique ?

Certains changements sont lourds, mais je conclurai par quelques points qui pourraient être mis en œuvre rapidement, car il ne s’agit pas de rester l’arme aux pieds en attendant des jours meilleurs.

Tout d’abord, l’essentiel, la révolution copernicienne, c’est de remettre l’initiative publique au centre de cette mutation, et non la faire tourner autour de l’initiative privée comme actuellement. Et ce, pour deux raisons : pour être à la hauteur des enjeux, et pour assurer une bonne couverture du territoire.

Les opérateurs privés sont confrontés à de nombreux défis : baisse des revenus pour les opérateurs historiques en Europe, arrivée d’un nouvel entrant dans le mobile en France, positionnement sur la chaîne de valeur par rapport aux géants mondiaux, Apple, Google, et autres Facebook. Le haut débit est pour eux un marché stable, dégageant des cash-flow considérables. Vont-ils se lancer à corps perdu dans un nouveau cycle d’investissements dans ces conditions ? On peut en douter. Certaines annonces le disent, pour SFR et Orange. D’autres disent le contraire, pour Free et Bouygues Telecom. Et en tout cas les chiffres, eux, ne montrent pas de décollage. Le rythme de construction est stable, très en-deça des objectifs fixés par le Président de la République, ceux fixés en 2008 pour 2012 comme ceux fixés en 2010 pour 2020. Se mettre à la remorque des opérateurs privés, c’est prendre le risque de ne pas être au rendez-vous, qui n’est pas franco-français, mais mondial, de la société de l’information.

A un niveau plus local, mais qui nous concerne au premier chef, un réseau d’initiative publique permet de répondre aux priorités d’un territoire : couvrir les services publics, les entreprises, les zones mal desservies en haut débit. Il donne des assurances contractuelles de délai et de couverture, il évite l’écrémage, à la ville, au quartier, à l’immeuble, à la zone pavillonnaire plus ou moins rentable. Et un tel réseau n’exclut aucunement l’intérêt des opérateurs : la réglementation leur permet de co-investir, c’est à dire de passer dans leur bilan, en CAPEX, un droit d’usage qui les met en meilleure position que la simple location du réseau cuivre aujourd’hui. Ces opérateurs privés peuvent aussi apporter tout leur savoir-faire, leurs compétences, leurs personnels pour répondre aux projets publics et organiser la construction des réseaux d’initiative publique, ils sont les bienvenus dans la compétition.

Qui doit porter cette initiative publique, en termes de maîtrise d’ouvrage ?
Deux options sont possibles, l’Etat, et les collectivités. L’année dernière l’Australie, à ce même colloque, témoignait de cette possibilité. Je ne l’exclus pas en France, mais il faut relever deux faits. Le mouvement général, pour les ports, les routes, les lycées, les collèges, les transports ferroviaires et j’en passe, c’est celui de la décentralisation, d’agir au plus près des besoins. D’autre part, les collectivités sont déjà largement dans l’action. Il semble donc plus simple de poursuivre dans cette voie, avec bien sûr l’appui de l’Etat, j’y reviendrai.

Question plus complexe, pour une association de collectivités qui en regroupe toutes les strates, des métropoles aux départements, des syndicats d’énergie aux régions, la législation devrait-elle en distinguer une en particulier, avec un chef de file, ou par l’attribution d’une compétence exclusive ? Là aussi, il faut chercher une réponse dans un cadre plus général, le débat sur l’organisation territoriale. Je relève tout d’abord que le cadre gouvernemental pour le très haut débit est à rebours de sa réforme territoriale : pas de spécialisation de compétence, recherche de financements croisés, dépense forte et nouvelle alors qu’il y a un encadrement des ressources ! Ce n’est pas un facteur de réussite, croyez-moi. Ce débat général sur l’organisation territoriale, nul n’en doute, n’est pas clos par la dernière réforme, quelle que soit la majorité qui sortira des urnes en 2012. Il va durer encore un certain temps. Permettez-moi donc d’être pragmatique : en attente de cette grande évolution, gardons la souplesse actuelle, faite d’initiative, de compétences diverses. J’ai évoqué par exemple les syndicats d’énergie, il n’est un secret pour personne que certains sont plus dynamiques que d’autres. Il y a aussi des traditions locales, et de possibilités de regroupements comme les syndicats mixtes. Il faut avancer, c’est possible dans le cadre actuel, avec cette diversité, n’attendons pas. J’ai confiance en l’action des territoires et en l’action des élus sur leurs territoires.

Quel rôle pour l’Etat ?
Il est primordial : fixer une ambition globale, réaliste, et s’en donner les moyens. Et d’abord les moyens financiers. Ce n’est pas facile, dans la période, mais faut-il rappeler toutes les études, internationales, qui montrent l’impact de ce type de réseau dans l’économie ? Il s’agit certes de subventions à dégager, mais qui rapportent in fine en ressources fiscales, c’est incontestable. Il faut donc créer effectivement le Fonds d’aménagement numérique du territoire, et l’abonder de manière pérenne. L’Etat aujourd’hui nous demande un schéma complet de transition à quinze ans, pour douze à quinze milliards d’investissements et ne nous dit rien sur la manière dont il va nous accompagner au-delà des 900 millions sur deux ou trois ans.

Où trouver l’argent du FANT ?
Ce qui existe pour l’électricité est peut-être le mécanisme le plus clair, à savoir une contribution pour des missions de service public, explicite, prélevée sur les factures de services. C’est le choix qu’avait présenté M. Maurey au Premier Ministre, avec un complément de taxes sur les consoles de jeux et téléviseurs. Et c’est ce qu’on retrouve dans la proposition de loi de MM Maurey et Leroy, fort logiquement. Dans la configuration actuelle, où l’Etat réserve l’écrémage du territoire au privé, la moindre des choses serait de taxer ces opérateurs pour pouvoir construire ailleurs. Il faut bien sûr déduire les investissements lourds de l’assiette de cette taxe pour ne pas les décourager d’investir. L’AVICCA avait suggéré cet amendement il y a deux ans, et il a d’ailleurs été repris par le groupe socialiste lors de l’examen de cette loi de finances, la semaine dernière au sénat.

Comment assurer une véritable péréquation ?
Il faut trouver une juste répartition, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Même avec les modulations proposées, le taux d’effort par habitant varie de un à trois pour les départements les plus ruraux. Il devrait être identique, la solidarité nationale absorbant les différences. Et je précise que nous avons toujours affirmé que les collectivités étaient prêtes à assumer une part de l’effort… mais une part équitable, et, à mon avis une part minoritaire. Je rappelle au contraire les chiffres que j’ai cités au débat sénatorial, ceux de la Dordogne, avec un effort de l’Etat ne représentant que 12% du coût si les règles ne changent pas.

Et l’opérateur historique dans tout cela ?
L’Etat lui demande tout à la fois de rapporter à ses actionnaires, dont il est le premier, de remplir ses caisses par diverses taxes, d’éteindre la catastrophe sociale interne. A quel rang de priorité est donc l’aménagement du territoire ? L’équation est-elle possible ? Passer du cuivre à la fibre sans hausse importante des tarifs, n’est-ce pas d’abord une destruction de valeur pour Orange ? Ainsi que je l’ai dit dans ma profession de foi, pour me représenter à la présidence de l’AVICCA, on ne peut ignorer ces questions. Il faut organiser la transition rapide du cuivre à la fibre, sinon nous serons encore et toujours en concurrence par les infrastructures, avec tous les surcoûts que cela comporte. Faut-il aller jusqu’à une séparation structurelle, en mettant la partie boucle locale fixe sous pilotage public ? Ou peut-on, par une nouvelle régulation, obliger France Telecom, structure privée, à investir dans la fibre en sanctionnant ses revenus du cuivre si elle ne le fait pas ? Il faut étudier toutes les options, on ne peut pas se contenter de mouvements de manches et d’à peu près, il y a trop d’enjeux, pour les salariés de France Telecom, pour les territoires – et notamment les territoires les plus ruraux, pour notre pays. Ces grandes options doivent être mises à plat, chiffrées, argumentées, pour qu’elles soient débattues, au Parlement.

Le Président Souchon nous le rappelait : un tiers des NRA ruraux ne sont pas fibrés. C’est le réseau de l’opérateur historique. Il y a pourtant une part de marché de 100 % en offre de gros, et de deux tiers en offre de détail, au moins. Et quelle qualité de service peut-il amener, sept ans après son plan « haut débit pour tous », sans fibrer ses répartiteurs ? Mais peut-il les fibrer et assurer en même temps, comme il le fait, un dividende de 3,7 milliards d’euros à ses actionnaires ? Apparemment pas. Et ne comptons pas sur les opérateurs alternatifs, a fortiori, pour assumer cette dépense. Plus généralement, est-ce aux collectivités de financer l’amélioration de ce réseau privé à travers la montée en débit sur cuivre ? On ne peut plus continuer avec des changements de pied permanents, pousser les collectivités à établir leurs réseaux de collecte puis pousser France Telecom à ouvrir la sienne, en détruisant de la valeur pour tout le monde, car il s’agit maintenant de dizaines de milliards.

Il faut donc changer de cadre. Beaucoup de mesures que j’ai évoquées pourraient se mettre en place très rapidement, sans changer de législation, sans négocier avec Bruxelles. Sur la priorité de l’initiative publique, par exemple, la Commission européenne nous dit simplement attention s’il y a des investissements privés avec un déploiement significatif dans les trois ans. Le programme national a complètement changé le curseur avec une simple « initiation » de déploiement privé, et dans les cinq ans, qui se terminent encore cinq ans après, soit une dizaine d’années. Ceci peut être changé sans avoir à modifier les lignes directrices européennes, qui, soit dit en passant, reconnaissent la possibilité d’agir sous forme de SIEG même dans ce cas. Un autre point peut changer sur une simple décision de l’exécutif. Qu’il n’y ait pas d’aide sur une partie rentable d’un projet public, c’est normal. Qu’il soit condamné parce qu’il veut établir une péréquation, comme aujourd’hui, cela n’est pas admissible. Permettons les projets « intégrés » pour ceux qui en ont la volonté, je pense à la Haute Savoie, à l’Isère, à la Seine et Marne et bien d’autres. Et si certaines collectivités préfèrent se concentrer sur les autres zones, miser sur les opérateurs privés en les contrôlant, parce qu’elles pensent que c’est leur intérêt, pourquoi pas ? Les territoires ne se ressemblent pas, aucune vérité n’est écrite, à chacun d’assumer ses choix, encore faut-il que l’Etat les permette.

Encore un exemple, sur les limitations des aides du FSN, on peut comprendre que l’Etat cherche un effet de levier, en aidant d’abord les prises à 1000 euros plutôt qu’à 2000. Mais ce raisonnement devrait être tempéré, là où, par exemple, le haut débit est mauvais aujourd’hui. Sinon il faudra intervenir deux fois ! Enfin, moduler les aides en fonction des coûts réels par habitant, c’est indispensable.

On entend parfois dire : « attention, le cadre n’est pas parfait, mais s’il faut le changer, il ne va rien se passer pendant deux ans ». C’est faux, au contraire. Beaucoup de mesures relèvent de simples décisions gouvernementales, je viens de le dire. Elles peuvent être prises rapidement, permettant de débloquer les initiatives des territoires. De très nombreux élus ont compris la nécessité d’investir sur ce sujet, mais le cadre décourage leurs projets. En parallèle, nous pouvons réfléchir, débattre, et mettre en œuvre les changements plus lourds nécessaires, mentionnés par mes prédécesseurs dans ce débat.

Je souscris donc à de très nombreuses propositions évoquées par le sénateur Leroy et le sénateur Maurey, mais sur certains points, qui dépendent d’une simple décision gouvernementale, je propose de ne pas attendre. Nous pourrions, par exemple, aller ensemble voir le Premier Ministre.

Faisons sauter les verrous, avançons, et donnons-nous les moyens lourds et pérennes pour accélérer et achever cette mutation nécessaire ».

Yves Rome
Président de l’AVICCA
Président du Conseil général de l’Oise
Sénateur

Co-investissements, offres de gros, offres activées

Les collectivités et leurs partenaires doivent définir des offres de co-investissement sur la partie mutualisée des réseaux FTTH. Comment créer une dynamique quand trois fournisseurs d’accès à internet, potentiels co-investisseurs, se partagent 90% du marché ? Quelle est la place des offres activées, pour le marché grand public et professionnel : une simple nécessité au démarrage ou l’occasion d’ouvrir structurellement le jeu d’acteurs ?

SieA - Ain

Michel CHANEL, Vice-président

Télécharger la présentation

Altitude Infrastructure

David EL FASSY, Président

Télécharger la présentation

REG.I.E.S. (Pays Chartrain)

Alain GUILLOTIN, Directeur

Télécharger la présentation

Institut Télécom Paris Tech

Joël MAU, Chargé de mission

Télécharger la présentation

Axione

P-Éric SAINT-ANDRÉ, Directeur général

Télécharger la présentation

Covage

C. VERHILLE, Directeur des concessions

Télécharger la présentation

Les actes

Co-investissements, offres de gros, offres activées : quel tiercé gagnant pour le FTTH et pour les besoins des entreprises ?

Construction et commercialisation du FTTH : le décollage en 2012 ?

Le retour sur investissement du FTTH n’est pas encore là pour les opérateurs. Cependant la mutualisation progresse, les besoins de débit évoluent, la maîtrise opérationnelle des réseaux augmente. Où en sont les opérateurs sur leurs propres réseaux en service ou en projet, et sur les réseaux des tiers, qu’ils soient privés ou d’initiative publique ?

Les intervenants

  • Didier CASAS, Secrétaire général - Bouygues Télécom
  • Jérôme COUTANT, Membre du Collège - ARCEP
  • Laurent LAGANIER, Directeur de la réglementation & relations avec les collectivités - Iliad/Free
  • Yves PARFAIT, Directeur de programme La Fibre Orange - France Télécom
  • Alexandre WAUQUIEZ, Directeur marketing réseaux - Groupe SFR
  • Jérôme YOMTOV, Secrétaire général - Numéricable

Les actes

TRIP 2011 : "Construction et commercialisation du FTTH : le décollage en 2012 ?"

Nouveaux projets de RIP réduction du fossé numérique : les collectivités dans l’action

La plupart des projets de RIP FTTH ont été différés en 2011, pour digérer la mise en place des règles du FSN ou de la régulation de la zone moins dense, mais pas tous. Dans un cadre contraint, des collectivités inventent aussi de nouvelles réponses globales ou sectorielles. De plus, le réseau est indispensable mais ne fait pas tout. Des projets s’élaborent pour mailler le territoire de centres de ressources utilisant la médiation numérique ; aider les entreprises, favoriser le travail à distance ou l’accès aux services publics, réduire le fossé social des usages.

C. Urbaine de Strasbourg

Claude GRAEBLING, Vice-président, informatique, TIC, réseaux et télécoms

Télécharger la présentation

C. Urbaine de Lille

Akim OURAL, Conseiller communautaire économie numérique

Télécharger la présentation

CR Poitou-Charentes

Christophe RAMBLIÈRE, Délégué communautaire - Bassin de l’Angoumois / Conseiller régional en charge des TIC

Télécharger la présentation

Conseil général du Lot

Gérard AMIGUES, Vice-président, chargé de la culture, du patrimoine et des usages TIC

Anne-Claire DUBREUIL, Chargée de mission usages liés aux TIC

Télécharger la présentation

Les actes

  • CU Strasbourg
  • CU Lille
  • CR Poitou-Charente
  • CG Lot

Télécharger les actes des interventions

CA Plateau de Saclay

François LAMBERT, Vice-président

Télécharger la présentation

CG Hauts-de-Seine

Dominique LEROY, Directeur du projet Très haut débit

Télécharger la présentation

CG Vaucluse

Catherine UTRERA, Directrice de l’aménagement et du développement durable

Télécharger la présentation

CA Nîmes

Cyril YVER, Directeur adjoint des systèmes d’information

Télécharger la présentation

Les actes

  • CA Plateau de Saclay
  • CG Hauts-de-Seine
  • CG Vaucluse
  • CA de Nîmes

Télécharger les actes des interventions

Video

VIDEO reprenant divers éléments évoqués lors de la deuxième journée : quatre collectivités de tailles différentes ayant évoqué leur projet à la tribune du colloque : SIe de l’Ain, Pays Chartrain, CU de Lille et Région Poitou-Charentes.

Avicca - Colloque TRIP 2011 - Présentation n°2
par AVICCA publié sur Vimeo.